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          Dans la jungle des mots se trace un labyrinthe ;

          Y flotter, aspirée en un lent tourbillon

          Comme en une conque auspicieuse,

          Dans un envol ascensionnel

          Ouvert à tous vertiges.


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  • Elle est là, distorte

    Cette douleur qui fore frotte gratte.

    Cœur arraché

    Corps encore.

    Il n’y a ni lieu ni frontière

    Juste sortie de fondrière

    Fil ténu peut casser

    - Parfois se rebobine.


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  • Drôle de découverte, sur la boîte de cacao. J'en suis chocolat:

    AH, BIEN...


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  • Ceci n'était pas une éclipse

    Je ne courais pas l'écliptique

    Ni en occultation, ni sur orbite.

    Juste occlusion.

    Alors comme chez Molière

    Il y eut des clystères

    Mais aussi des mystères:

    Un Prince Persan.

    Me revoici, plus folle qu'avant.


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    Gorge sèche sur

    Guibolle molles.

    Abstraction :

    Moins je mets de sens,

    Mieux je me sens.


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  • Il y a des trous noirs

    Absences et béances.

    Ils y a des vertiges.

    Pourtant d’un rien

    Quelque chose brille.

     

     

    Il  y a des                            trous noirs le soir

    A  contresens  en                               béances

    Il  y  a                                       des vers tiges

    Qui dégoût                                            pillent

    Chenilles à                                   tort titillent

    Dreadlocks                              en pendeloques

    Danses                          transes en abondance

    Sans                                      dessous de sens.


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    Avec gogole remonter le temps

    Puis le descendre en toboggan

    Tricoter les jours au galop

    Filouter les heures au yoyo

    Pour escamoter le néant

    Et retomber...plus loin qu’avant.


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  • A la quête du vent d'éther

    Va la mécanique quantique

    L'espace et le temps, cet hiver,

    Glaceront les humeurs sceptiques.

     

    Les deux aiguilles de l'horloge

    Signent leur dimension spatiale.

    D'une hypothèse qui déroge

    Où est le point fondamental?

     

    La relativité restreinte

    Est plutôt incompréhensible,

    Mais elle laisse son empreinte.

     

    Aux physiciens tous les possibles.

    On aime écouter sans contrainte

    Leur poésie immarcescible.


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    Au front du casoar

    Oiseau bizarre

    Brille, allez-vous le croire ?

    Un bézoard…

    Perché non loin d’un bédégar

    Il agite, le casoar

    Ses plumes, comme un hussard.


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    Quand l’heure sera rousse

    Glisser dans l’infime interstice

    D’où jaillit l’œil vert de la mer

    Grandir dans la lumière,

    Douce soie du soir qui caresse

    Notre âme et la peau de la terre.


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