Bien vu, et très juste !
C'est ce que je pense chaque fois que je parcours l'allée centrale de mon centre commercial de banlieue, plantée de palmiers.
Carole
"La folie, ce n'est pas la confusion, c'est un palmier qui donne des dattes sans noyau, c'est une brûlure qui ne fait pas mal, c'est le baiser de l'absent." Tahar Ben Jelloun in "L'Auberge des
pauvres".
Hélas tous les palmiers du sud sont condamnés, ils sont coupés les uns après les autres. Une sale bête les mange de l'intérieur et finit par les faire crever, il faut les couper et les brûler pour
éviter la propagation...
Dans le sud , j'ai vu des centaines d'oliviers centenaires ... et des palmiers offerts à la vente pour de riches propriétaires. Une nature prise en otage. Bises Dan
Court et concis...
"la ville arrogante" pas mieux !