Arf... Zut... Je ne voulais pas te tromper autant... Je me souviens de ce passage qui m'avait marqué tellement il est saugrenu, mais sinon c'est un copier coller (j'ai un autre blog ou je poste des extraits que j'aime bien : http://unproductivepoetry.wordpress.com/).

Bon dimanche !

Terrible ! C'est très joli et original. Le seul endroit où j'avais jamais lu de la poésie à propos de poulpes, c'était dans l'Odyssée :

"Comme quand le poulpe qu’on arrache à sa retraite

emporte des cailloux accrochés à ses tentacules,

Ulysse avait laissé attachés au rocher

des lambeaux de ses mains hardies ; le flot le recouvrit."

Je viens de lire qu'il est considéré  comme l' animal le plus intelligent et curieux dans le monde sous-marin. Un animal que je connais peu hormis les films où il est souvent montré comme un monstre. Heureuse idée d'attirer notre attention sur lui.

Etrange regard sur le poulpe... Ecartelé, le pauvre, c'est terrible ! J'aime beaucoup l'interrrogation de la fin ! Bisous

C'est beau ! J'avoue que les poulpes ne m'ont jamais rien inspirées autre chose que de la répulsion. J'essayerais de les regarder avec plus de sympathie à l'avenir !

Mais... mais... serais tu en train de lire Les chants de Maldoror??

Saura-t'on jamais si les animaux ont une pensée ??

Bisous