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Klaus Groth
Wie Melodien zieht es
Mir leise durch den Sinn,
Wie frühlingsblumen blüht es,
Und schwebt wie Duft dahin.
Doch kommt das Wort und fasst es
Und führt es vor das Aug’,
Wie Nebelgrau erblasst es
Und schwindet wie ein Hauch.
Und dennoch ruht im Reime
Verborgen wohl ein Duft,
Den mild aus stillem Keime
Ein feuchtes Auge ruft.
Comme une mélodie s’en vient
Tout doucement dans mon esprit,
Comme fleurs au printemps, fleurit
Et flotte au loin comme un parfum.
Mais les mots écrits pour le dire
Lorsque j’y pose mon regard,
Cela pâlit comme un brouillard
Et disparait comme un soupir.
Cependant reste dans mes rimes
Un effluve en secret blotti
Qui du bouton tout endormi
Sortira, au regard intime.
4 commentaires -
Je vous parle parfois du bonheur profond que le chant me procure. Voici tous les airs que j'ai appris depuis Septembre! Cela ne veut pas dire que je les chante bien, mais j'aurai pénétré la musique autrement que par la seule écoute.
MONTEVERDI
Si dolce’l tormento
PURCELL
Mystery / Secresy’s / The plaint / mort de Didon
SCARLATTI
O cessate
HAENDEL
Ch’io mai / Ombra mai fu / Laschia qu’io pianga
GLUCK
Che faro senza Euridice
MOZART
Agnus dei / Ave verum
BELLINI
Dolente imagine
BRAHMS
Sapphische ode / Wiegenlied
BERLIOZ
Villanelle
VERDI
More Eliza / In solitaria / Il poveretto
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