• MATHIAS ENARD

    "Le banquet annuel de la confrérie des fossoyeurs"

     Avec un ethnographe mollasson phagocyté par son sujet d’étude, Mathias Enard nous entraine de la trivialité la plus rabelaisienne à de la broderie au petit point, des boucles qui s’entremêlent dans quatre dimensions - on s'y perd délicieusement et on s'y retrouve.

    Un grand roman pictonnesque.


  • Commentaires

    1
    Mardi 10 Novembre 2020 à 07:25
    Un hommage d'un Picton à sa terre natale. Tout le monde n'est pas niortais.
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