Et bien quelle hargne dans la réponse! J'appréciais juste le coté littéraire, pas l'aspect navigateur... Nom d'un sémaphore! Cela étant, je n'ai jamais mis les pieds sur un voilier, effectivement,
j'espère qu'un jour peut-être... Homme libre, toujours tu blablabla...
A lire près coup l'ensemble des commentaires, Nounedeb, j'ai pensé une chose : j'approuve ou je désapprouve ce qui est dit, mais ce qui est merveilleux, c'est justement qu'on puisse écrire quelque
chose et que les autres l'analysent, le "réécrivent" ou le prolongent, à leur façon. Publier, sur un blog ou ailleurs, c'est finalement mettre un texte au monde, pour le lancer dans une existence
qui nous échappe, comme on le ferait d'un enfant, en somme. Alors, bien sûr, on prend le risque qu'il ne nous ressemble plus, mais il vit !
Bises, Carole
La mer est si troublante lorsqu'elle est tourmenté, lorsqu'elle est calme que le marin, en tenant la barre, maîtrise son cap, le poète son inspiration pour ne pas écouter le chant des sirènes et
s'enfuir sur le dos des vagues. Merci de m'envoyer ton textoésie en commentaire. J'aimerais l'ajouter à ma page "Face à la mer. Je salue ta participation. Cordialement.Suzâme
Pas senti en te lisant le "sens" du commentaire qui te met les oreilles en colère ! Ouf... senti par contre comme une nostalgie, une envie de prendre le large, un désir de mer qui ne m'évoque rien
(n'ayant jamais navigué !!) mais que je crois comprendre ! il te suffit de louer un petit bateau et de partir faire un tour sur notre Océan d'huile !!! Allez capitaine, à la barre...