• DERRIERE LES BARREAUX...

     

    Derrière les barreaux de l’averse,

    J’ai vu la verte liberté

    De mouettes emportées de plein gré.

    Pourquoi résister ? La vie s’écoule.

    Tu reste là mais tu t’en vas,

    Stèle friable émoussée par le vent.

    La pluie a frappé au carreau.

    Évade-toi.


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  • Commentaires

    5
    Mercredi 27 Juillet 2011 à 13:38
    Mamie Claude

    La liberté d'être à l'abri est un luxe que j'ai aussi dégusté ce matin. Une mer qui coulait en chantant sur le toît de la véranda pour couler en rideau mouvant et enfin créer une fausse piscine sur la terrasse pas très plane.

    La liberté a cessé quand il a bien fallu sortir avec ma petite chienne au poil blanc, dense et long. Au retour j'avais un caniche tout frisé !!

    Bonne journée Noune avec la musique des gouttes et gros bisous

    4
    Mercredi 27 Juillet 2011 à 12:20
    michelaise

    et si la pluie était, en effet, source de liberté... ici, c'est un peu le cas !!! sur les ailes des mouettes en effet

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    3
    Mercredi 27 Juillet 2011 à 11:27
    Mireille

    J'aime beaucoup ton poème. Le vent, la pluie, la liberté... Celle dont on dit: elle ne se donne pas, elle se prend. C'est toujours douloureux, mais que c'est bon ! Bises. Mireille

    2
    Dan
    Mercredi 27 Juillet 2011 à 09:02
    Dan

    La liberté demande souvent de braver les éléments. Bises Dan

    1
    Mercredi 27 Juillet 2011 à 08:47
    Catheau

    S'abandonner à la pluie et au vent pour conquérir sa liberté : de très belles images dans ce poème.

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