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DERNIER MARS
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Commentaires
"L'univer m'embarrasse et je ne puis songer
Que cette horloge existe et n'ait point d'horloger", disait Voltaire.
Merci pour la légèreté de vos mots.
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"L'univer m'embarrasse et je ne puis songer
Que cette horloge existe et n'ait point d'horloger", disait Voltaire.
Merci pour la légèreté de vos mots.
tu as raison, les iris bandent mou, c'est un fait...