• CONTE - FICTION

     

    Quand les I eurent compris qu’à tuer les O à la naissance (ou les battre, les violer, les mutiler, les bâillonner, les voiler, les humilier),  les O allaient venir à manquer, alors, ils se mirent à les élever. Comme des poules.


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  • Commentaires

    12
    Lundi 2 Avril 2012 à 21:19
    Tricôtine
    coucou Noune, j'avais posé rapidement mes zyeux sur ton texte avant de partir sans laisser mon approbation quant à l'élevage qui a résulté des zabus envers les o... pourtant le O naturel et traditionnel sera toujours plus rond que celui élevé en captivité droit comme un i !!! :oooo)) bozzzoux par oco
    11
    Jeudi 15 Mars 2012 à 14:31
    Tit'Anik
    Amusant, bravo j'aime bien
    Bizz
    10
    Mercredi 14 Mars 2012 à 19:24
    Pépéhème
    Merci. (non, un seul suffit ?)
    9
    Mercredi 14 Mars 2012 à 00:11
    Pépéhème
    le petit E voyant cela ne veut devenir ni l'un ni l'autre ;-)
    8
    Mardi 13 Mars 2012 à 19:46
    Lenaïg Boudig
    Non, toujours pas de binette au sourire jusqu'aux oreilles ! Et je ne crois pas pouvoir les remettre chez moi, de chez toi, non ! Mais tant pis ! Tu as raison, pour le court, c'est ce que mon ours me dit toujours ... :-)))
    7
    Mardi 13 Mars 2012 à 12:20
    Lenaïg Boudig
    Excellent, Noune, d'autant plus percutant que c'est court ! Un grand bravo, une belle journée, ensoleillée !
    6
    Lundi 12 Mars 2012 à 22:37
    mansfield
    Un peu comme les amazones qui croyaient pouvoir se passer des hommes!
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    5
    Lundi 12 Mars 2012 à 17:55
    Langda
    Celui-là aussi, bien vu !
    4
    Lundi 12 Mars 2012 à 12:59
    Hauteclaire
    Terrifiant constat, réalité de notre monde en premier, qui pourrait bien être réalité proche en deuxième ...
    3
    Lundi 12 Mars 2012 à 11:40
    belle métaphore !!!!
    2
    Lundi 12 Mars 2012 à 11:34
    Catheau
    "On les élève comme des saintes et on les livre comme des pouliches ", écrit Louis Gardel dans Fort-Saganne. Mais s'agit-il d'Elles ?
    1
    Lundi 12 Mars 2012 à 11:09
    libre  necessite
    io ! comme disent les jeunes
    C'est une drôle d'histoire d'ô que tu nous contes là. Bises Dan
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